En cette fin de coupe du monde, il est temps de se remémorer les exploits de nos footballeurs au Brésil, en relisant un chef d’œuvre du grand brésilien Victorugo. Malheureusement le roi de la passe Ribéry étant resté sur le trottoir, il a bien fallu le remplacer, mais voici notre onze de rêve qui se présente sur le terrain. Le gardien, le grand Javert qui arrête tout, spécialiste du grand plongeon. A la Défense, Jean Valjean, eh tu te calmes, pleure pas comme une Madeleine, c’est pas le bagne non plus ! Il sera accompagné de Cosette, la nettoyeuse des surfaces, le Digne Myriel, et enfin notre taulier de service Thénardier. Au milieu, la fine fleur Mabeuf, Enjolras, Marius et Petit Gervais, un vrai petit filou celui-là ! En attaque Fauchelevent et Gavroche.
Et c’est parti, Marius a le ballon, superbe technique, un petit Pont mercy ! Mais qu’est-ce que tu attends, passe, fais attention aux autres ils se sont Abaissés, et voilà ils te l’ont piqué ! Marius, tu me fends le cœur ! Oh Marcel, tais-toi, retourne jouer à l’O.M.
Nouvelle contre-attaque, Enjolras passe à Gavroche. Face à lui une vraie barricade se dresse, aie, il s’effondre dans la surface. Monsieur, je suis tombé par terre c’est la faute à Voltaire ! Voltaire, carton rouge ! Oui parfaitement, fait pas ton air candide, oui dehors, va cultiver ton jardin. Enjolras l’étudiant va tirer le pénalty, il est trop droit, il tire, il la Sors bonne mère ! Catastrophe, bagarre générale. Javert, Valjean on se calme, vous etes misérables !
Ouais bin la prochaine fois je lirai les mémoires d’un Zlatan de la comtesse de Ségur.